Bien que l'OMS exhorte les gouvernements à censurer et surveiller l'information sur les réseaux sociaux, elle se fait prendre en train de payer des influenceurs pour promouvoir sa politique controversée et maladroite pendant la pandémie de Covid-19.
En 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté une stratégie inhabituelle pour façonner la perception publique de sa gestion de la pandémie de coronavirus. Elle a engagé la célèbre société de relations publiques Hill and Knowlton Strategies, connue pour son passé controversé, pour promouvoir positivement sa réponse à la crise. Cette société, qui avait déjà été impliquée dans des activités telles que la promotion de fausses informations avant la guerre en Irak et le lobbying pour l'industrie du tabac, a été chargée par l'OMS de recruter des « influenceurs » afin de renforcer les messages de l'OMS sur la pandémie.
Les détails de cette collaboration ont été révélés dans des documents soumis au ministère américain de la Justice conformément au Foreign Agents Registration Act. Selon ces documents, l'OMS aurait versé 135 000 $ à Hill and Knowlton Strategies pour ses services. La société de relations publiques a justifié cette collaboration en soulignant les critiques et les allégations visant à discréditer l'OMS en tant que source fiable d'informations sur la santé publique mondiale.
Le contrat entre l'OMS et Hill and Knowlton Strategies comprenait diverses étapes, notamment l'identification d'influenceurs, le test de messages et la mise en place d'un cadre de plan de campagne. Les influenceurs recherchés étaient de trois types : des célébrités avec une large audience sur les réseaux sociaux, des individus avec une audience plus restreinte mais plus engagée, et des « héros cachés », des utilisateurs moins connus mais qui influencent néanmoins les conversations en ligne.
L'objectif de cette collaboration était d'accroître la crédibilité de l'OMS en utilisant ces influenceurs pour diffuser les messages souhaités sur la pandémie. Il est probable que ces actions aient été conçues pour maximiser la visibilité des déclarations de l'OMS. Par exemple, des articles comme celui de Tomas Pueyo, qui était relativement inconnu à l'époque, ont connu une diffusion massive grâce à cette stratégie.
Bien que cette utilisation de stratégies de relations publiques par l'OMS pour façonner le récit de la pandémie ait été rendue publique dès 2020, elle n'a pas suscité beaucoup d'intérêt de la part des médias traditionnels. Cette réticence à enquêter plus avant semble refléter une préférence pour une opinion uniforme plutôt que pour la recherche de la vérité et une approche journalistique ouverte.
Les trois plus gros contributeurs privés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sont généralement la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Welcome Trust, et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), qui reçoit souvent des fonds de donateurs privés. Ces organisations ont un impact significatif sur les activités et les programmes de l'OMS, fournissant un soutien financier essentiel à ses initiatives de santé dans le monde entier.
https://x.com/RadioLachine/status/1772645770807665036?s=20
En 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté une stratégie inhabituelle pour façonner la perception publique de sa gestion de la pandémie de coronavirus. Elle a engagé la célèbre société de relations publiques Hill and Knowlton Strategies, connue pour son passé controversé, pour promouvoir positivement sa réponse à la crise. Cette société, qui avait déjà été impliquée dans des activités telles que la promotion de fausses informations avant la guerre en Irak et le lobbying pour l'industrie du tabac, a été chargée par l'OMS de recruter des « influenceurs » afin de renforcer les messages de l'OMS sur la pandémie.
Les détails de cette collaboration ont été révélés dans des documents soumis au ministère américain de la Justice conformément au Foreign Agents Registration Act. Selon ces documents, l'OMS aurait versé 135 000 $ à Hill and Knowlton Strategies pour ses services. La société de relations publiques a justifié cette collaboration en soulignant les critiques et les allégations visant à discréditer l'OMS en tant que source fiable d'informations sur la santé publique mondiale.
Le contrat entre l'OMS et Hill and Knowlton Strategies comprenait diverses étapes, notamment l'identification d'influenceurs, le test de messages et la mise en place d'un cadre de plan de campagne. Les influenceurs recherchés étaient de trois types : des célébrités avec une large audience sur les réseaux sociaux, des individus avec une audience plus restreinte mais plus engagée, et des « héros cachés », des utilisateurs moins connus mais qui influencent néanmoins les conversations en ligne.
L'objectif de cette collaboration était d'accroître la crédibilité de l'OMS en utilisant ces influenceurs pour diffuser les messages souhaités sur la pandémie. Il est probable que ces actions aient été conçues pour maximiser la visibilité des déclarations de l'OMS. Par exemple, des articles comme celui de Tomas Pueyo, qui était relativement inconnu à l'époque, ont connu une diffusion massive grâce à cette stratégie.
Bien que cette utilisation de stratégies de relations publiques par l'OMS pour façonner le récit de la pandémie ait été rendue publique dès 2020, elle n'a pas suscité beaucoup d'intérêt de la part des médias traditionnels. Cette réticence à enquêter plus avant semble refléter une préférence pour une opinion uniforme plutôt que pour la recherche de la vérité et une approche journalistique ouverte.
Les trois plus gros contributeurs privés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sont généralement la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Welcome Trust, et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), qui reçoit souvent des fonds de donateurs privés. Ces organisations ont un impact significatif sur les activités et les programmes de l'OMS, fournissant un soutien financier essentiel à ses initiatives de santé dans le monde entier.
https://x.com/RadioLachine/status/1772645770807665036?s=20
Bien que l'OMS exhorte les gouvernements à censurer et surveiller l'information sur les réseaux sociaux, elle se fait prendre en train de payer des influenceurs pour promouvoir sa politique controversée et maladroite pendant la pandémie de Covid-19.
En 2020, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a adopté une stratégie inhabituelle pour façonner la perception publique de sa gestion de la pandémie de coronavirus. Elle a engagé la célèbre société de relations publiques Hill and Knowlton Strategies, connue pour son passé controversé, pour promouvoir positivement sa réponse à la crise. Cette société, qui avait déjà été impliquée dans des activités telles que la promotion de fausses informations avant la guerre en Irak et le lobbying pour l'industrie du tabac, a été chargée par l'OMS de recruter des « influenceurs » afin de renforcer les messages de l'OMS sur la pandémie.
Les détails de cette collaboration ont été révélés dans des documents soumis au ministère américain de la Justice conformément au Foreign Agents Registration Act. Selon ces documents, l'OMS aurait versé 135 000 $ à Hill and Knowlton Strategies pour ses services. La société de relations publiques a justifié cette collaboration en soulignant les critiques et les allégations visant à discréditer l'OMS en tant que source fiable d'informations sur la santé publique mondiale.
Le contrat entre l'OMS et Hill and Knowlton Strategies comprenait diverses étapes, notamment l'identification d'influenceurs, le test de messages et la mise en place d'un cadre de plan de campagne. Les influenceurs recherchés étaient de trois types : des célébrités avec une large audience sur les réseaux sociaux, des individus avec une audience plus restreinte mais plus engagée, et des « héros cachés », des utilisateurs moins connus mais qui influencent néanmoins les conversations en ligne.
L'objectif de cette collaboration était d'accroître la crédibilité de l'OMS en utilisant ces influenceurs pour diffuser les messages souhaités sur la pandémie. Il est probable que ces actions aient été conçues pour maximiser la visibilité des déclarations de l'OMS. Par exemple, des articles comme celui de Tomas Pueyo, qui était relativement inconnu à l'époque, ont connu une diffusion massive grâce à cette stratégie.
Bien que cette utilisation de stratégies de relations publiques par l'OMS pour façonner le récit de la pandémie ait été rendue publique dès 2020, elle n'a pas suscité beaucoup d'intérêt de la part des médias traditionnels. Cette réticence à enquêter plus avant semble refléter une préférence pour une opinion uniforme plutôt que pour la recherche de la vérité et une approche journalistique ouverte.
Les trois plus gros contributeurs privés à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sont généralement la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Welcome Trust, et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), qui reçoit souvent des fonds de donateurs privés. Ces organisations ont un impact significatif sur les activités et les programmes de l'OMS, fournissant un soutien financier essentiel à ses initiatives de santé dans le monde entier.
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